29 septembre 2022
JEAN PAUL CHAMBRY : Un coin qui me rappelle ....
JEAN PAUL CHAMBRY N'A JAMAIS LA PLUME TARIE....voila plusieurs poèmes qu'il nous envoie et avec maintes occupations..nous avons pris du retard à la publication ...Voici déjà son dernier envoi, nous republierons en ordre inverse de récéprtion !
Un coin qui me rappelle
Dans la montagne, sous une roche
Posée sur un lit de pierrailles usées
L'érosion les ont transformé en galets
Ils sont devenus les fondations de ce rocher
C'est la forteresse d'un liquide d'une pureté inouïe
Ce roc imposant protège un territoire pour qu'il reste pur
Sous lui fonctionne l'alambic pour faire de l'eau un élixir
Devenant le sang de la Terre et tout ce qui l'embellit
Sous cette pierre protectrice sort l'eau par un goulet
La source s'écoule pour se transformer en ru
Il se cache sous la futaie en bruissant gaiement
C'est le serpent de la vie qui entame son existence
Il coule comme une vie avec les premières difficultés
Devenu ruisseau, il arrose et se frotte sur les rives
L'eau se glisse sur les abords pour nourrir la végétation
Elle est la mère nourricière indispensable
C'est une avenue d'arbres, formant avec leurs cimes
Un arc de triomphe feuillu qui salue et glorifie son utilité
Cette eau est là pour ravitailler tout ce qui vit pour grandir
Dans l'euphorie pour vivre et croire à des rêves merveilleux
De cette rivière vivifiante et sauvage qui se trouve enfermée
Dans une faille rocheuse pour se transformer en un étang mystérieux
Emprisonnée, elle appelle à l'aide, les nénuphars dressent l'oreille
D'un commun accord ils étudient le moyen de s'échapper
L'eau est bloquée dans cette cavité, elle décide de se faire absorber
Par toutes les racines qui alimentent arbres, ronces, bruyères, fougères
Elle aide la sève à monter, pour s'évaporer par les feuilles
Afin de s'évader dans l'atmosphère radieux d'un été chaud
Jean-Paul Chambry
Dans la montagne, sous une roche
Posée sur un lit de pierrailles usées
L'érosion les ont transformé en galets
Ils sont devenus les fondations de ce rocher
C'est la forteresse d'un liquide d'une pureté inouïe
Ce roc imposant protège un territoire pour qu'il reste pur
Sous lui fonctionne l'alambic pour faire de l'eau un élixir
Devenant le sang de la Terre et tout ce qui l'embellit
Sous cette pierre protectrice sort l'eau par un goulet
La source s'écoule pour se transformer en ru
Il se cache sous la futaie en bruissant gaiement
C'est le serpent de la vie qui entame son existence
Il coule comme une vie avec les premières difficultés
Devenu ruisseau, il arrose et se frotte sur les rives
L'eau se glisse sur les abords pour nourrir la végétation
Elle est la mère nourricière indispensable
C'est une avenue d'arbres, formant avec leurs cimes
Un arc de triomphe feuillu qui salue et glorifie son utilité
Cette eau est là pour ravitailler tout ce qui vit pour grandir
Dans l'euphorie pour vivre et croire à des rêves merveilleux
De cette rivière vivifiante et sauvage qui se trouve enfermée
Dans une faille rocheuse pour se transformer en un étang mystérieux
Emprisonnée, elle appelle à l'aide, les nénuphars dressent l'oreille
D'un commun accord ils étudient le moyen de s'échapper
L'eau est bloquée dans cette cavité, elle décide de se faire absorber
Par toutes les racines qui alimentent arbres, ronces, bruyères, fougères
Elle aide la sève à monter, pour s'évaporer par les feuilles
Afin de s'évader dans l'atmosphère radieux d'un été chaud
Jean-Paul Chambry
Posté par Vincent Decombis à 12:57 - Commentaires […] - Permalien [#]
Partager cet article
Vous aimez ?
0 vote
Vous aimerez aussi :
Publicité
Publicité
Commentaires